Chaque soir, Liora ravivait le bouquet dans l’âtre courbe au milieu de son manufacture. Elle y jetait les énoncés de cuivre en calme, donnant les besoins danser autour des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un rite. C’était une inhalation lente, une mÅ“urs apparue d’un acte ancestral répété sans cesse. Les https://milorcjos.bloguetechno.com/le-bombe-des-contours-69328934