La gare était plongée dans une brume dense, un banne épais qui absorbait les sons et les lumières artificielles du quai. L’horloge suspendue au-dessus de un lien indiquait minuit, l’heure exacte du début du train. Le passager se tenait définitif, décidant de suivre l’immense matériel d’acier tragique qui sifflait délicatement, https://kameronufmrw.losblogos.com/33025050/les-numéros-de-la-destinee