Les rayons du soleil couchant se reflétaient sur les fils d’or, illuminant l’étoffe d’une lueur presque irréelle. La tisseuse contemplait son ouvrage, le cœur alourdi par l’image qui s’y dessinait. Chaque fil, chaque pourquoi entrelacé formait une réalité perpétuel : la destinée du prince était scellé. Pouvait-elle encore espérer revoir https://henrikl901rso7.bloggadores.com/profile