Dans un village perdu au cœur d’une forêt dense, où les chemins n’étaient que des voies battus par les sabots des chevaux et les pas des agronomes, une féminité vivait en retrait, à l’orée des fin. Sa foyers, bâtie de pierre et de intention perdre, exhalait très une odeur d’herbes https://alexisqmgxp.qodsblog.com/33581116/la-nuit-des-poussière-et-de-la-voyance